Voila près de 30 ans que Masteroy fut le commandant de la plus grande armée, que l'univers est connu.
La dernière et plus grande bataille à la quel il eu assisté, il venait d'avoir 33 ans et songeait déjà a un avenir prometteur dans l'armée.
Aujourd'hui Masteroy fête son 65eme anniversaire au coté de ces ancien camarades encore vivant et de sa famille, et reparle du passé, des bon moment comme des pires ...
Masteroy est aujourd'hui professeur dans le domaine de la stratégie militaire, et forme de nouveau soldats,
mais ce soir Masteroy vas rejoindre son petit fils qui adore écouté son grand père raconté son histoire avant de dormir.
C'est assis à son chevet qu'il commence ...
Jadis, quand j'étais encore dans l'armée pour l'empire, je me battais pour la paix et l'ordre, j'étais déjà chef de section et étais suivis par 10 valeureux soldats tous près a me donner leur vie.
Lors d'une mission normalement sans danger , j'ai perdu mon 1er soldat. Nous devions protéger une zone minière très convoité par les pilleurs et la gardé jusqu'à l'aube.
La nuit tombait et nous restions aux aguets, les tours de ronde se suivirent lorsque que ce silence fut coupé par une rafale de laser lourd dans notre direction, un chasseur lourd équipé d'un si gros calibre ne pouvait pas venir seul et ce n'était surement pas un vaisseaux de reconnaissance, nous nous sommes donc caché dans les marais pour éviter d'être pris pour cible à nouveau, nous nous séparions en deux équipes pour ne pas être encerclé. Les marais étaient infesté de gros lézards pas très amical, mes hommes et moi sommes sortie si rapidement que nous nous sommes fais repérer, et là, une autre rafale ...
- Ahhhhhhh je suis touché, mon lieutenant ! - On éssuis des tires ! Un de mes homme est touché , et n'a pas pus nous rejoindre derrière le rocher, je ne peux pas le laisser là a découvert, j'appelle alors un tire de couverture pour aller le chercher .
- Couvrez moi !
- Gogogo ! Arrivé à sa hauteur,des hommes tiraient des rafales de laser, ils illuminaient le ciel, ils sont surement cent ou deux-cent sur les crêtes et je les voyais sauter de rocher en rocher se rapprochant de nous petit à petit pour nous prendre au piège, je pris mon soldat sur mon dos et couru le plus vite possible vers le rocher le plus proche.
Après plusieurs minutes d'échanges de tires, nos munitions finir par se faire plus rare.
Le sergent alterne bouche à bouche et massage cardiaque à mon tireur d'élite touché au ventre s'éteignant peu à peu, la peur de mes homme se fait sentir malgré cette obscurité et je ne sais quoi faire pour les sortir de là sans minutions.
Dim 9 Aoû - 9:46